(tous les persos ? De tout le monde ? Ou juste les miens ? Rien que pour Maximus c’est the big défi lol)

Maximus refusait de croire que Caeso puis être vraiment quelqu’un de bien, il avait du sang d’Octave dans les veines et ce dernier avait la certitude que si son père savait pour Leana, il ordonnerait à son fils qu’il la fasse exécuter et aussi gentil que Caeso pouvait l’être il le ferait pour ne pas décevoir son père, laissant une fois de plus de côté ses sentiments. Donc au final Caeso était comme son père, il n’oserait jamais s’opposer à ce dernier, de peur de perdre l’héritage tant promis…

Me provoquer ? Tu ne m’aurais pas provoquer, tu aurais fait preuve de compassion, je t’aurai épargné d’autant plus que Leana avait plaidé en ta faveur et avait trouvé grâce à mes yeux…Faire de moi ton garde du corps personnel, c’est une très bonne idée, comme ça j’ai l’occasion de connaître le véritable traître et de le tuer de mes propres mains…

Maximus se tût un instant avant de reprendre

Si cela peut te rendre plus intelligent et moins stupide, pourquoi pas ? Une de tes conquêtes ? Ha Ha Ha Quand on sait que tu es inexpérimenté c’est inconcevable et après tu vas dire que tu ne veux pas mentir au peuple…Si le peuple croit que tu prends du bon temps avec quelqu’un pourquoi ne pas vraiment le faire dans ce cas ? Prends-toi une amante le temps que tu trouves ta dite « perle » et étant donné que tu ne veux perdre ton innocence qu’avec deux types de personnes : ta future épouse ou une personne en qui tu es assez proche, le choix me parait évident…mais bon je parle à un mur !

Caeso était désespérant.

Oui elle l’était et il est hors de question que je te la décrive pour que tu fantasmes sur elle…Tu es vraiment une tête à claque !

Maximus plaqua son visage sur le sien…Maximus ne voulait pas tuer Leana donc si Caeso était épargné c’est parce que le gladiateur tenait à les réunir, il avait l’impression de voir son fils en Caeso et Leana semblait être la femme idéale donc c’était comme s’il mariait son propre fils.

Tu ne penses pas tout simplement, tu te laisses aller, comme un animal sauvage…Lors de ma première fois j’étais anxieux et je tremblais légèrement, j’avais peur de ne pas savoir comment réagir…et finalement ça s’est fait tout seul…

Voilà que Caeso posait encore des questions remuant le couteau dans la plaie toujours ouverte.

J’étais soldat…des ennemis m’ont torturé pour avoir des informations qu’ils n’ont jamais eu…Tu fais mine d’être dégoûtée mais l’idée commence à trotter dans ta tête… dit-il espérant que Caeso ne pensait pas à lui en parlant de colosse, il chassa cette idée de son esprit rapidement, c’était répugnant.

Content de l’entendre !


Caeso était un idiot mais ça ce n’était pas une nouveauté, Maximus s’en était aperçu depuis le temps. C’est ironique de penser qu’il est le fils d’une fille de joie et qu’il ne connait rien du tout aux petits plaisirs de la vie. N’a-t-il donc jamais tenté de se satisfaire lui-même en pensant à la fille qui avait un tant soit peu d’effet sur lui ? A l’évidence non donc Maximus devrait lui apprendre cette leçon.

Oh non je ne te le dirai pas, je ne te montrerai pas et tu ne me toucheras pas sinon je casserai ta main avant que tu n’aies eu le temps de dire aie dit-il s’éloignant du fils de l’empereur et il ajouta

Etant donné que Leana n’est pas en état et que tu t’entêtes à ne pas vouloir lui demander de t'aider, elle ferait n’importe quoi pour toi par loyauté…Je vais donc te proposer un exercice tout simple. Tu vas fermer les yeux, tu vas imaginer que tu es avec Leana sur ce lit. Tu vas avec ta main caresser chaque partie de ton corps en imaginant que c’est ta Leana qui le fait avec douceur, chaque partie sans exception. Si une partie réagit plus vivement que les autres, c’est que c’est là ton point stratégique. Pourquoi imaginer Leana ? Tout simplement parce que j’ai l’intime conviction qu’elle est en mesure de produire cet effet sur lui. Sache que si une femme ne te fait aucun effet, il est fort probable que caresser cette zone ne te fera rien. Nous sommes entre nous donc tu peux laisser libre cours à ton imagination, rien ne sortira d’ici et ce sera l’occasion pour toi de tester à quel point ta servante t’attire…peut-être finiras-tu par ouvrir les yeux et par lui demander de s’entraîner avec toi…

Allez savoir si Caeso se plierait vraiment à l’exercice. Il voulait apprendre certes mais le ferait-il sérieusement car s’il le faisait il était certain ou du moins fort probable que son entrejambe réagisse vivement à la pensée que Leana la caresse…Ce dernier était si têtu qu'il serait bien capable de ne pas se plier correctement à l'exercice.

Je doute qu’elle est la patience de t’attendre longtemps… se contenta-t-il de dire à propos de la soit disant perle de Caeso qui l'attendait à la fontaine. La demoiselle devait être partie du lieu de rendez-vous depuis le temps pensant que Caeso ne viendrait jamais à sa rencontre.

Je t’enseigne mais tu ne m’écoutes pas. Tu ne veux pas le faire avec la personne qui t’attire…Tu parles de quelqu’un assez proche de toi qui voudrait t’aider et t’entraîner ? Cette personne existe! Ta très chère Leana serait capable d’accepter si seulement tu lui demandais mais tu refuses de te jeter à l’eau. Dis-toi que tes sentiments ne sont peut-être pas partagés et qu'ainsi personne ne sera blessé…Si tu ne tentes rien, tu n’auras rien…Si tu ne lui parles pas franchement, tu ne pourras jamais savoir. Mets les choses au clair avec elle et tout se passera bien. Fais-le au moins une fois et si l’expérience t’a déplu, je laisserai tomber et je n’insisterai plus avec elle…

(Pensi se lance dans une grande croisade ! J'ai trop kiffé le fantasme sur Leana et Maximus lol. Et Leana va tomber amoureuse de Caeso un jour...Quand Maïa s'apercevra que Leana a des sentiments pour Caeso et que ce dernier a plus d'affection qu'il ne devrait envers cette dernière, elle se débarrassera subtilement de son ennemi )



Pour Maximus, Caeso s’empêchait de vivre. Finalement, il était autant un esclave que ses sujets, ses servants, les gladiateurs. Caeso vivait dans le luxe certes mais il était prisonnier de son devoir, celui d’empereur, de fils, ce dernier l’emportant largement sur son autre devoir : celui du cœur…

Et pourtant je suis libre et tu me fais confiance pour t’enseigner l’art de procurer du plaisir au lit…Dans ce cas tu devras te satisfaire tout seul…

Fais attention à ce que tu dis ! Tu parles de ma femme je te signale ! Elle est peut-être morte mais elle reste ma femme, je continuerai à l’aimer alors respecte un peu ça ou je te jure que tu ne procureras jamais de plaisir à qui que ce soit ! (lol)

Maximus avait rapproché leur deux visages pour impressionner davantage Caeso. Vu la réaction de ce dernier, il y arrivait avec une facilité déconcertante.

Etant donné qu’on a remis ça à plusieurs reprises…je te laisse imaginer quelle était sa réponse et sa réaction au lit…

Maximus était las de devoir s’expliquer sans cesse alors il préférait que Caeso réfléchisse par lui-même en donnant un minimum d’informations.

C’est que j’ai un mental d’acier…Si ta tête lâche avant ton corps tu es fini, si ton corps lâche mais que ton esprit est toujours déterminé tu resteras en vie. Et puis quand on te torture tu as conscience que dans les deux cas tu dois mourir au final même si je m’en suis bien sorti avec quelques cicatrices par ci par là sur le corps…

Le gladiateur était recouvert de cicatrice et de vieilles blessures mais c’était les risques du métier de toute façon. Maximus était loyal et fidèle dans tous les sens du terme mais il avait été trahi et quand il saurait par qui il ne répondrait plus de rien.

Encore heureux !

Maximus soupira

Ne crois-tu pas qu’elle a son mot à dire ? N’en as-tu pas marre de tout décider à sa place ? Qu’est-ce que tu risques ? Un refus ? Car elle ne s'en ira pas de toute façon vu qu'elle est têtue et bête comme toi…Ou encore tu risques qu’elle en est autant envie que toi et que tu apprécies ce moment ? Si elle voulait vraiment construire une famille, je doute qu’elle serait restée à tes côtés alors qu’elle est affranchie…Peut-être qu’elle ne ressent rien pour toi mais peut-être qu'elle est physiquement attirée par toi…Si tu ne lui demandes pas toi-même, je me chargerai de la sonder à ton sujet voir vraiment ce qu’elle pense de toi sans aborder le sujet directement…

Maximus fut surpris, Caeso accepta de faire l’exercice qu’il lui avait confié. Maximus ne dirait rien, il n’était pas comme ça. Il regarda un instant le fils de l’empereur se caresser puis quand il arriva à sa zone, il regarda ailleurs, voulant lui laisser un peu d’intimité. Savoir que quelqu’un vous observe n’était pas forcément une chose agréable et pouvait vous freiner dans votre lancée. Maximus était très loin de s’imaginer que Caeso était inconsciemment excité par le fait qu’il pouvait le mater en train de se caresser et pire encore que le gladiateur faisait parti de son fantasme.

Si Maximus ne regardait pas vraiment, il entendit le gémissement de Caeso, cela le fit sourire. Voilà que le fils de l’empereur venait de ressentir du plaisir en laissant libre cours à son imagination et son fantasme, qu’est-ce que ce serait s’il l’avait fait pour de vrai ? Alors que ce dernier semblait avoir terminé, il reposa son regard sur Caeso.

C’était agréable n’est-ce pas ? Dis-toi qu’au moins à chaque fois que tu auras envie d’elle mais que tu refuses de la toucher pour de vrai, tu pourras t’isoler et retenter l’expérience pour te libérer et soulager.

Caeso rougissait, sans doute avait-il un peu honte d’avoir gémi et fait ça sous les yeux du gladiateur. Maximus déclara

Tu n’as pas à avoir honte d’avoir aimé imaginer ta servante nue, c’est une chose naturelle…C’est vraiment du gâchis…Tu as à ce point envie d’elle et elle ne le saura jamais. Je suis sûr que si elle t’avait vu faire cette exercice, elle aurait été excitée. Si tu l'avais soumis à ce test: qu'elle te surprenne dans une telle position je ne doute pas qu'elle aurait rougi et que cela aurait éveillé en toi encore plus de désir…Je peux me tromper bien entendu…

Maximus resta silencieux et reprit

Tu es un sac de nœuds à toi tout seul. Je m’explique : tu l’aimes et tu fantasmes sur elle mais tu refuses de lui dire ou de l’amener dans ton lit. Cependant, tu ne supporterais pas qu’elle soit loin de toi. Tu ne supporterais pas que quelque chose lui arrive mais tu te moques de savoir si elle souffre par ta faute car tu te moques de savoir ce qu’elle ressent à ton égard. Et j'ai l'intime conviction que de la voir proche d'un autre homme te rendra jaloux...Tu la veux rien que pour toi et pourtant tu refuses de tout partager avec elle. Cela rend peut-être les choses plus simples pour toi mais sans doute pas pour elle.

Puis il parla de Maïa :

Si elle est « ta perle » ne crois-tu pas que le mieux serait de la chercher toi-même ? Si elle est celle que tu penses qu’elle est, ne dois-tu pas commencer à la courtiser ? Je doute que la faire quérir par tes gardes soit quelque chose de romantique pour la courtiser…

Maximus ne poussait pas Caeso dans les bras de Maïa mais si celui-ci la voyait comme sa perle il fallait mieux qu’il s’y prenne correctement pour séduire la jeune femme même s’il n’avait pas encore vu son visage. La première impression qu’on laissait apparaître était toujours la plus déterminante.

(Enfin Maïa va séduire Caeso par intérêt donc cela ne veut pas dire qu’il l’a conquise lol. Déjà va savoir s'il va vouloir la séduire vu qu'il fantasme sur Maximus.   Pour Leana, à ce jour elle est juste loyale et n’éprouve rien ou du moins se voile la face xD. Quant à Maximus, Caeso va ramer je pense. Maïa dévoilera son double visage assez tôt, genre si elle surprend Caeso embrassait sa servante mais que Caeso ne s’aperçoit pas qu’elle les a vus xD Et quand elle saura l’attirance de Caeso pour Maximus alors là ça va faire mal)

Maximus n’avait qu’une envie : rejoindre sa famille et retrouver sa tranquillité d’antan. Il avait toujours imaginé l’autre monde comme le reflet de ses meilleurs souvenirs. Donc il était certain que cet autre monde serait sa petite maison de campagne, sa petite ferme perdue au milieu de nul part. Maximus ne pensait pas que le paradis existait non pour lui c’était simplement un autre monde dans lequel on s’enfermait, une prison plus douce qu’était la mort.

Être libre c’est ne pas être prisonnier, techniquement je n’ai plus de chaîne donc je ne suis pas ton prisonnier mais ton invité à durée indéterminée ?

Quoi ? Caeso jouait sur les mots alors Maximus pouvait bien en faire tout autant non ?
Caeso pouvait défier Maximus autant qu’il le voulait avec son regard, il ne ferait jamais le poids face au gladiateur, qui était impulsif et sanguin.

C’est gentil de t’inquiéter pour moi. J’estime que j’ai vécu ma vie…Toi tu n’as rien vécu du tout…Mon fils un jour aurait eu ton âge et j’aurai tout fait pur qu’il trouve le bonheur…Il était destiné à suivre mes traces mais il avait le droit de refuser et de choisir sa propre voix. Donc dis-toi que si je t’aide c’est parce que tu me rappelle mon fils et que je ne te laisserai pas gâcher deux vies : la tienne et la sienne…

Si Caeso était direct, Maximus l’était tout autant, et il ne tarderait pas à se rendre compte que l’erreur était inacceptable pour le gladiateur qui était intraitable sur ce sujet. On pouvait faire des erreurs bien sûr mais celle que Caeso s’apprêtait à faire ou plutôt avait fait à cet instant n’allait pas passer.

Baliverne, tu es bien bâti, la taille ne fait pas tout, entre ça dans ta tête. Arrête de te dévaloriser voyons, c’est ridicule ! Tu dois choisir la bonne tout simplement…Vois-tu si tu choisis une femme par défaut qui ne te fait rien ressentir, ou pire encore si tu penses à quelqu’un d’autre pendant ton ébat peut-être que tu prendras plaisir et elle aussi mais ce n’est pas la solution…car tu te voileras sans cesse la face, imaginant sans cesse cette personne pour satisfaire la femme dans ton lit…

Maximus ne se voyait pas comme un mentor, si lui était mentor alors Caeso lui était un menteur, il se mentait à lui-même, c’était marrant de jouer sur les mots.

J’espère bien

Maximus bien qu’ayant pour but de tuer la famille impériale ne laisserait personne s’en prendre à Caeso, qu’il voyait maintenant comme fils de substitution. Personne à part lui n’avait le droit de lui donner des tapes ou de lui faire de mal. Il serait même capable de prendre les coups à la place de Caeso non pas parce qu’il se considérait comme esclave mais parce qu’il s’attachait à ce petit morveux, un attachement qu’un père aurait envers son fils.

Je n’en doute pas…Les femmes veulent toujours ce qu’elles ne peuvent pas avoir comme les hommes d’ailleurs, on veut toujours l’inaccessible, tu ne me contrediras pas sur ce point

Maximus avait toujours de l’argent, il était loin d’être pauvre à vrai dire, il aurait pu reprendre son rang social en s’excusant auprès des membres de sa famille mais il ne voulait pas, ah non jamais il ne s’excuserait d’avoir fait ce qu’il avait fait !

Tu es compliqué ! Tu ne veux pas que ce soit une femme qui t’aime si son rang n’est pas le même que le tien, tu ne veux pas que ce soit par simple attirance et tu ne veux pas que ce soit par devoir ! Ne peux-tu pas pour une fois mettre tes principes impériaux de côté ? Si elle est comme toi, ce ne sera pas difficile…deux êtres têtus comme une mule qui se voilent la face et qui passent à côté de leur destiné prometteuse tout ça pour une histoire de rang social…Si ce n’est que ça…je peux lui donner ma fortune…Elle ne me sert à rien de toute façon…

Maximus avait l’intime conviction qu’il fallait tous les deux les mettre face à leur sentiment pour qu’ils arrêtent de se mentir à eux-mêmes.

Arrête de te plaindre, c’est normal car tu as trouvé ça intense…Ce n’est qu’un début.

Maximus était loin de se douter de la perversité de l’esprit du fils de l’empereur, qui finalement n’était pas si différent de son frère quand on y réfléchissait.

Puis Caeso déclara qu’il le ferait à chaque fois qu’il en aurait envie. Si Caeso croyait que Maximus n’allait pas tiquer c’était rater. « A chaque fois que j’aurai envie de t..elle » le mit hors de lui. Il n’était guère difficile de deviner que le début était « de toi » sinon il aurait dit d’un trait « d’elle ». Le gladiateur se pencha attrapa Caeso par les épaules, en colère et le souleva, l’éloignant de son lit et le plaqua contre un mur pour mettre les choses au clair. Il le gronda comme ferait un père à son fils quoique dans ce cas c’était plus virulent.

Je ne vais pas te faire de mal ! Mais écoute-moi bien ! Tu as intérêt que ce soit un simple lapsus ! Si je m’aperçois ou que j’apprends d’une quelque façon que tu te soulages en pensant à moi, en fantasmant sur moi je te jure que ceci ne te servira plus à rien dit-il posant une main sur les bijoux de famille de Caseo en pressant légèrement puis il le lâcha et s’écarta.

Tu devrais avoir honte !

Il s’éloigna un peu plus et ne regarda pas Caeso en face, ah non si celui-ci fantasmait sur lui cela le dégoutait.

Une fois que tu t’es soulagé l’envie n’en sera que plus forte et dans ton propre intérêt j’espère que ce sera pour elle et non pour moi !

Maximus ne comprenait pas comment un homme pouvait être attiré par un autre homme, c’était contre nature et c’était vraiment du gâchis, il y avait tellement de jolies femmes. Et le fait qu’un homme puisse fantasmer sur lui le rendait encore plus furieux à ce sujet.

J’en doute ! Tout dépend de qui le fait et je doute que n’importe qui puisse te surprendre ainsi dans ta chambre ! Oh non je ne me trompe pas…je pourrai même te prouver mes dires mais je suis sûr que tu refuserais d’avoir la preuve par crainte que ce que je dis se produise…

Il tournait toujours le dos à Caeso, se dirigeant vers la porte pour sortir.

Je ne te crois pas, dire est une chose le faire est autre chose…Tu te mens à toi-même pour avoir bonne conscience ! T’es-tu déjà demandé pourquoi affranchie elle reste avec toi ? Ne crois-tu pas que si elle voulait fonder une famille d’esclave elle serait déjà partie depuis longtemps ? Elle se sacrifie pour toi sombre idiot ! Les filles comme ta Leana pensent qu’elles n’ont aucune valeur aux yeux de quiconque et préfèrent finir seules et malheureuses ! Réfléchis bon sang !

Peut-être que Maximus n’avait pas raison sur toute la ligne au sujet de Leana vu qu’il ne la connaissait pas mais ce qu’il faisait remarquer n’était pas forcément faux, Caeso devait au moins se poser la question. Pourquoi Leana restait à ses côtés ? Pourquoi refusait-elle de vivre sa vie ?

Puis Maximus l’entendit parler de sa dite perle.

Tu as tout gagné ! Si tu veux finir comme un raté je t’applaudis ! Tu ruines ton amour, tu fantasmes sur un homme et pour couronner le tout tu laisses filer celle que tu penses être ta perle, non mais bravo, toutes mes félicitations ! Je l’ai aperçue de loin et je peux te dire que si tu ne viens pas, des centaines de gars viendront la courtiser donc si elle est vraiment « ta perle », tu risques de la perdre bien vite ! Maintenant si tu m’excuses, je ne compte pas m’enfuir mais j’ai une patiente à aller voir ! J’espère au moins réussir à la raisonner elle vu que toi c’est mission impossible !

Bien sûr, il parlait de Leana. Maximus refusait de laisser Caeso fantasmer sur lui. Il devait le remettre sur le droit chemin et il pensait que Leana était la solution au problème.

(C’est clair, il y aurait bien Leana mais vu leur statut respectif c’est impossible à moins qu’ils fassent ça dans le plus grand secret mais j’en doute…Je vais jouer tous mes persos car ça m’amuse donc cela va faire un gros pavé, tu n'es pas obligé de faire un gros pavé en retour ^^. Sinon si des fois tu as la motivation, je veux bien que tu me fasses les bannières de Leana et de Maïa car j'ai trop la flemme xD)


Caeso avait beau le répéter, Maximus ne se voyait pas comme esclave. Il n’était pas devenu gladiateur de son plein gré. Il l’était devenu parce qu’un marchand d’esclave l’avait retrouvé à terre, dans un état déplorable et qu’il avait demandé à un autre esclave de le soigner pour qu’il devienne un gladiateur. Quand Maximus s’était aperçu qu’en combattant il avait gagné le cœur des citoyens romains, il avait alors eu l’idée d’utiliser ce statut pour se venger.

Certainement pas, je ne t’obéirai pas…J’ai accepté de te protéger c’est déjà pas mal et je veille sur ta protégé même si tu ne me l’as pas demandé…

A vrai dire, il le faisait plus par culpabilité qu’autre chose envers la jeune esclave.

Quelle vulgarité ! Pour apprendre la grossièreté le petit empereur chéri n’est pas ignorant mais pour apprendre des choses plus importantes là il n’y a plus personne ! Tu te comportes comme un gamin alors j’ai le droit de te considérer comme tel. Mon fils était mieux éduqué que toi, tu n’es qu’un gosse pourri gâté, qui veut qu’on le respecte mais qui ne respecte pas les autres. Tu veux être un jour un empereur respecté, apprécié mais craint de tes ennemis ? Apprends à te comporter comme tel !

Caeso ne devait pas trop tirer sur la corde sensible du gladiateur qui avait une forte envie de le cogner à mort mais ce dernier se retint, il était plus intelligent que ce pseudo fils de l’empereur.

Tu comptes faire comme ton père ? Aller voir ailleurs out en étant marié ? Ton père a été voir une fille de joie, crois-tu vraiment qu’être attirée par une servante affranchie est pire ? Tu me fais pitié sincèrement. Tu veux que je te dise quelque chose. Bien sûr que non tu ne veux pas l’entendre mais je vais te le dire quand même : tu auras beau être marié, à réussir à te convaincre que tu es heureux ainsi, le passé te rattrapera toujours, elle continuera à te hanter et laisse-moi te dire une chose, s’il lui arrivait quelque chose tu auras beau te dire que cela ne te fait rien, c’est un mensonge, tu porteras un maque devant tout le monde, tu seras d’autant plus irritable…Comment je le sais ? Disons que je suis passée par là…mais je ne vais pas en parler, cela me regarde…

De toute façon, si ce n’était pas Maximus qui allait tuer la famille de Caeso, quelqu’un d’autre s’en chargerait volontiers, la famille de l’empereur avait quand même bien des ennemis. Maximus n’était ni le premier, ni le dernier à vouloir mettre fin à leur jour et ça ce n’était pas nouveau.

Cette utopie existe dans notre imaginaire et dans nos rêves les plus fous…Mais parfois les rêves sont réalisables, il suffit juste de le vouloir…

Le gladiateur leva les yeux au ciel.

Pourtant tu mets bien ta vraie vie de côté…Tout ça pour quoi ? La richesse, le luxe et le pouvoir ? Tu veux être un meilleur empereur ? Entre nous, tu ne feras que reproduire ce que ton père a fait car tu ne veux pas le décevoir donc rien ne changera, il y aura toujours des esclaves, toujours des gens qui meurent de fin…

Maximus regarda Caeso

C’est intéressant, elle ne veut pas d’argent…elle ne veut pas refaire sa vie mais rester avec toi et tu t’obstines à penser que ce n’est que pour le devoir…

Maximus comprenait sans doute mieux les motivations de Leana que celles de Caeso qui semblait aveugle, il ne se rendait pas compte des conditions de la jeune esclave, même si elle était affranchie, sa peau était marquée, n’importe qui saurait qu’elle était une esclave et jamais personne ne lui accorderait le respect et l’attention qu’elle mérite…

Tu es bon à finir vieux garçon sans descendance!

Maximus était un animal, c’est comme si vous montrez à un requin du sang, il voit rouge et saute sur sa proie. Maximus ne supportait pas ce genre de lapsus car il avait l’impression de voir son fils chez Caeso donc penser que ce dernier fantasmait sur lui était insupportable.

Tu penses que m’insulter améliorera ton cas ? Parfois les lapsus sont  révélateurs je te signale !

Voilà que Caeso avait donné un coup violent dans son estomac, Maximus avait senti le coup, im encaissait donc il ne se pliait pas de douleur et cela montrait combien le fils de l’empereur n’était pas prêt à être un empereur. Il attaquait au lieu de parler calmement. Il aurait besoin de leçon auprès de osn esclave qui semblait avoir plus de bon sens que ce dernier.

Pour un fils de l’empereur tu devrais tourner ta langue dans ta bouche avant de t’exprimer ! Je ne crois pas être pervers, je te montre ce que je peux faire subir à tes bijoux de famille, les réduire en bouilli !

Maximus était moyennement convaincu par les propos de Caeso mais il allait faire comme s’il le croyait. Ce dernier avait intérêt à ne pas fantasmer sur lui sinon ça finirait mal.

Si Maximus avait touché la zone de Caeso c’était aussi pour tester, si ce dernier fantasmait sur lui sa zone aurait réagi immédiatement mais apparemment cela ne fut pas le cas, ce qui rassurait un temps soit peu le gladiateir.

Je te ferai remarqué que je ne suis pas vulgaire comparé à toi… dit-il moqueur.

C’est sensé me faire peur ?! Déjà que tu ne veux pas te lancer avec une demoiselle contre sa volonté alors forcer quelqu’un tu n’en es pas capable. Et si tu le faisais j’imagine déjà la déception dans le regard de ta très chère Leana, tu n’aimerais pas la décevoir n’est-ce pas ?

Si Caeso avait appuyé là où ça faisait mal au sujet de son fils et de sa femme Maximus lui rendait l’appareil, Caeso ne supporterait certainement pas que Leana se retrouve témoin d’une telle scène si cela devait un jour se produire et Caeso ne supporterait pas décevoir son esclave même si leur amour était impossible. Les larmes de Leana avait énormément de pouvoir sur Caeso et Maximus en avait parfaitement conscience.

Peut-être mais je doute que ton frère ou ton père ou encore un garde se retrouvent excités à te voir ainsi…

Maximus soupira. Caeso n’était même pas reconnaissant d’avoir une personne aussi loyale à ses côtés.

Tu ne sembles pas comprendre que pour la seule liberté réelle pour une esclave c’est la mort…Elle n’a plus de famille, si elle s’éloigne d’ici, elle a toujours la marque…que ton père a fait apposé sur elle depuis sa plus tendre enfance comme sur tous les esclaves, il n’est donc pas difficile que quelqu’un la fasse esclave à nouveau…Elle préfère souffrir mais rester à tes côtés que d’être loin de toi…

Ce ne sera pas le cas, la plus en danger en ce moment c’est ton esclave…Au moins vous avez un point en commun…



Le gladiateur sortit alors de la pièce et se dirigea vers la salle de soin pour rendre visite à la jeune esclave. Quand il y entra, il n’y vit personne, il fronça les sourcils. Où était-elle encore passée ?

La jeune esclave s’était suffisamment reposée et entre temps, elle était partie dans sa chambre, si on pouvait appeler ça comme ça car elle était largement moins spacieuse que celle de Caeso et elle n’avait pas de lit digne de ce nom. Autrefois elle partageait cette chambre avec sa famille, un semblant de lit pour toute une famille c’était loin d’être l’idéal. Elle dormait à même le sol. Dans ses plus lointains souvenirs, elle ne se rappelait pas d’avoir vu une fois Caeso dans propre chambre et c’était mieux ainsi, non pas qu’elle avait honte mais un lieu aussi vétuste n’était pas digne du fils de l’empereur. Leana ne se plaignait pas de sa situation et ne voulait pas qu’on la plaigne, ah non, elle ne voulait aucun traitement de faveur ! Dans sa chambre était déposée sur ce qui lui servait de lit des robes aussi belles les unes que les autres, des robes qui étaient loin de ressembler à ses vieux haillons. C’était la jeune femme de tout à l’heure qui les avait fait livrer ici. Mais pourquoi ? Leana l’ignorait. Existait-il vraiment des personnes comme Caeso ?

Elle n’avait guère la réponse, elle ferma la porte de sa chambre, à vrai dire il ne s’agissait même pas d’une porte mais d’un simple rideau. Elle retira alors ses vêtements, se retrouvant entièrement nue pour enfiler ses vêtements tous propres. Elle enfila alors sa nouvelle robe, en huma l’odeur, c’était agréable l’odeur du neuf. La jeune femme se dirigea vers le mur où étaient « collés » des morceaux de verres qu’elle avait rassemblée pour former un semblant de miroir. Elle ne pouvait voir que sn visage. Elle s’attacha alors les cheveux, ne laissant que deux mèches en liberté. La jeune demoiselle fermant les yeux un instant et s’imagina alors à un banquet dansant avec son cher maître Caeso. Elle dansait alors dans sa pièce vétuste à cette pensée. Puis elle se stoppa, secouant la tête pour se défaire d’une pensée stupide. Elle se détacha les cheveux, elle n’était pas une personne distinguée et ne le serait jamais. Leana ne souhaitait pas être riche, elle ne voulait pas vivre dans le luxe non plus. Elle voulait juste qu’elle et Caeso puissent se parler comme des individus égaux et être amis…enfin Leana le voyait plus comme un ami bien sûr. Des sentiments ? Elle en avait mais c’était confus et elle préférait se convaincre que c’était par loyauté qu’elle faisait tout ça qu’autre chose. En effet, elle n’était qu’une esclave, affranchie peu importe, une minable, personne ne s’intéresse à une sous mer** alors imaginer que Caeso puisse s’intéresser un temps soit peu à elle était inenvisageable. Pourquoi était-elle restée avec lui ? Elle tenait à être là. Caeso avait besoin de quelqu’un de sa condition pour lui rappeler que tout le monde ne vivait pas dans les mêmes conditions que lui et qu’il devait prendre des choix importants et puis le fils de l’empereur avait besoin qu’on lui donne un coup de pied aux fesses quand c’est nécessaire. Etait-ce vraiment la réelle raison ? Caeso était sa famille, Leana le voyait comme sa famille la plus proche. Le jour où elle jugerait que ce dernier n’a plus besoin d’elle, elle s’en irait pour rejoindre le monde des esclaves : la mort. Leana ne voulait pas construire de famille, elle ne voulait pas que sa condition se répète sans cesse dans sa descendance. Aucune famille d’esclave ne pouvait vivre heureuse vu qu’on séparait les enfants de leur parents le plus tôt possible et les enfants ne grandissaient pas comme tels…Leana ne souhaitait cette condition à personne et puis en tant qu’esclave l’amour n’avait aucun sens, elle ne pouvait aimer qui bon elle voulait donc à quoi ça servait ? A rien…Elle s’occupait plus du bien être et du futur de Caeso que du sien qui lui importait peu. Caeso était en quête d’une future épouse et Leana l’aiderait dans cette quête même si la tâche était ardue compte tenu des circonstances. Une autre femme dans la vie de Caeso ferait d’elle une personne inutile. Caeso n’aurait ainsi plus besoin d’elle et ne la verrait sans doute plus dans le décor. Elle deviendrait invisible, ce jour là elle s’en irait et mourrait l’esprit tranquille.

Une fois habillée avec une tenue des plus élégantes pour une esclave bien que n’étant pas une tenue de soirée ou une tenue de tous les jours pour les vraies nobles, la jeune demoiselle sortit de sa chambre. Elle n’allait pas embêter Caeso, ce dernier devait avoir d’autres choses à faire sinon il l’aurait fait chercher. Alors qu’elle trainait dans les couloirs pour se diriger vers les jardins elle tomba sur Maximus. Au vu de ses traits, elle devina sans trop de difficulté que ce dernier en avait après Caeso qui avait dû encore le provoquer ou lui dire des paroles blessantes. Voilà pourquoi Leana était utile, elle devait apaiser les tensions…La jeune femme de par son sourire et ses gestes tendres, en prenant les mains de Maximus arriva à apaiser ce dernier. Caeso était un homme qui grandissait jour après jour et qui avait besoin qu’on lui montre le droit chemin. S’énerver contre lui ne ferait que d’énerver Caeso davantage. Il fallait de la douceur avec ce dernier, c’était ce que pensait Leana.

Ils discutèrent alors de choses et d’autres, Maximus s’inquiétait pour sa santé, elle le rassura rapidement puis la jeune femme fut surprise, le gladiateur lui posait beaucoup de questions au sujet de Caeso et d’elle, de comment elle le voyait, pourquoi elle était encore ici.

Elle se braqua alors

Mêlez-vous de ce qui vous regarde Général, ce ne sont pas vos affaires ! Je suis une esclave, même affranchie je dois accomplir mon devoir auprès de mon maître ! Le reste ne vous regarde aucunement, ce sont mes affaires et je vis très bien avec. Vous feriez mieux de protéger mon maître que de perdre votre temps avec moi en essayant de me faire avouer je ne sais quoi. Caeso est mon maître et je l’apprécie comme tel

La jeune femme tentait de se convaincre elle-même c’était une évidence et puis cela lui rapporterait quoi de dire qu’elle ne savait pas elle-même pourquoi vraiment elle était restée ? Si elle disait qu’elle était restée pour s’assurer que Caeso soit heureux en se trouvant une future épouse, le gladiateur alors aurait pu constater qu’elle tenait à lui plus qu’elle ne l’admettrait jamais et c’était hors de question ! Il ne se passerait jamais rien !

Le gladiateur la complimenta sur sa tenue et insista encore sur cette histoire. Il ne vit pas le coup venir mais la jeune esclave le gifla. Leana n’aimait pas qu’on lui dicte ce qu’elle devait penser, dire ou faire. Le gladiateur lui disait que Caeso tenait à elle : baliverne !  Cela l’amusait-il de jouer avec les gens ? Cela n’amusait nullement Leana qui se mit alors à courir dans les couloirs pour sortir d’ici.

Le gladiateur la regarda alors s’éloigner, il avait touché à une corde sensible mais les deux jeunes gens étaient têtus : Leana encore plus que Caeso c’était une évidence.



La jeune femme avait attendu près de la fontaine pendant un certain moment. Pas de fils de l’empereur en vue, elle soupira. Sans doute ne viendrait-il jamais. La jeune femme se leva alors, elle prit la fleur qu’elle avait dans les cheveux et la laissa dans la fontaine, cela laisserait une marque de son passage si des fois le fils de l’empereur se réveillait pour la rejoindre. Déçue oh que oui elle l’était, rien ne se passait comme prévu et elle ne savait l’expliquer pour quoi. Elle décida alors de se promener dans la ville. La jeune femme ne passait pas inaperçue. Après tout elle était agréable à regarder donc de nombreux regards masculins se posèrent sur elle. Elle se fit aborder à diverses reprises sans grande surprise.

Elle se dirigea alors vers une demeure, celle d’une famille qu’elle connaissait bien, une noble famille qui avait fui Athènes pour se réfugier ici et vivre comme les romains C’était un peu comme une famille pour elle. Personne ne connaissait ses intentions et personne ne savait qui elle était vraiment et c’était la meilleure chose qu’il soit.

Si le fils de l’empereur voulait la voir, il devrait faire un effort. Elle en avait fait suffisamment maintenant c’était à son tour. Cette fleur dans l’eau c’était comme un indice, un jeu de piste, il devait trouver la petite fille qui offre ou vend des fleurs pour qu’elle lui indique où était partie la demoiselle…

emmy:  transpa a joué sa perso pour toi, je t'ai remis son post ^^.

transparente a écrit:

http://adelaidekanefans.com/wp-content/ … /06/13.png

La soirée s'était terminée particulièrement tard. Cassia avait du saluer son amie, avec qui elle avait terminé le banquet, alors que les premiers rayons de soleil faisaient leur apparition. Heureusement, le domaine familial ne se trouvait qu'à  une dizaine de minutes de la demeure du gouverneur de la ville. C'est avec bonheur qu'elle retrouva alors son lit, un peu plus tard. Son rang nécessitait qu'elle soit présente à l'ouverture des jeux par Aulus, bien malgré elle. Du moins, elle pouvait se ménager deux heures de sommeil.

Le lendemain matin, l'une de ses esclaves la réveilla, afin de l'aider à se préparer dans le temps imparti. Encore fatiguée de son récent rhume, Cassia n'était pas de la meilleure humeur qu'il puisse être, aussi nul ne tenta de lui adresser la parole. Rapidement, elle dut monter dans "voiture" mise à sa disposition, qu'elle partageait avec le reste de sa famille. Ils entrerprirent donc de traverser Pompei. Suite aux perturbations dues à l'afflux de voitures près des arènes en l'occasion de ces jeux, ils s'arrêtèrent plus tôt. Ils parvinrent enfin à arriver aux arènes. Une fois-là, le père s'approcha d'une jeune plébeienne (Emilia) - à en juger sa tenue - qui se trouvait là.
- Mademoiselle, il ne vous est pas permi de vous retrouver dans ces lieux. Ces tribunes sont réservées aux patriciens disposant d'une invitation.

Je suis trop cruelle de faire mourir mon personnage après 9 pages de Rp!
Milo était quelqu'un de gentil, on lui fera une petite fête en son honneur! :D

Pour ta perso, je l'imagine mal se marier avec Caeso, sachant qu'il n'est que le second héritier :']

[Woh ! J'ai cru que tu voulais me tuer quand j'ai vu le pavé ! xD Je vais certainement pas faire aussi gros vu que je suis pas motivée (pas à 10h du soir avec un exam le lendemain...),là mais que j'aurai pas le temps de répondre si je fais ça ailleurs ! ^^
Sinon, pour les banns, je vais voir : Sur le jeu où j'essaye de te ramener, j'ai 11 commandes qui m'attendent, alors xp ]

Pfff ! Comme si un esclave était devenu esclave de son plein gré. Jamais Caeso n'avait vu des villageois se ruer pour devenir esclaves, en omettant les fous et ceux qui n'avaient pas le choix de se vendre en esclavage pour offrir l'argent de leur vente à leur famille, histoire de leur permettre de subsister. Donc, devenir esclave était rarement un choix. Tout comme Caeso n'avait pas fait le choix d'être fils d'empereur. Tout comme Maximus n'avait plus le choix d'être esclave. Le sien de surcroît.

-Tu devrais arrêté de te voiler la face. Commence par appliquer tes propres conseils avant de me les refiler. À la seconde où mon frère t'as acheté, tu es passé d'esclave du peuple - gladiateur - a esclave domestique. Seul le nom est différent. Que tu choisisses de m'obéir ou non, cela ne fera pas changer ton titre.

Puis, il était trop tard pour revenir en arrière. Tout Pompéi avait vu Maximus, chaînes aux poings, à ses côtés lorsqu'ils étaient au Colisée, ça n'avait plus rien d'un secret : Il était son esclave. Le publique n'avait pas pu le voir autrement.

-Je suis un gosse de riche, j'ai saisi. Qu'est-ce que ça change ? Que je sois ingrat, malpoli, grossier... Je serai toujours un gosse de riche avec du pouvoir et de l'argent entre les mains. Je suis certain que la plupart des gens dans mon cas se fichent de ce que pensent les autres d'eux car, après tout, où l'importance ? Ils ont le pouvoir de se débarrasser de ceux énervants qui leur disent comment penser ! se braqua-t-il. Ton fils était peut-être mieux éduqué que moi mais cela ne la pas empêché de mourir avant moi. Encore une fois, tu te raccroches au passé.

Le cogner à mort pour des mots... Si Caeso avait eut des envies meurtrières et un peu plus de puissance et de sadisme, c'est plutôt lui qui aurait prit plaisir à torturer son interlocuteur jusqu'à ce que mort s'ensuive. Mais, ça, ce n'était pas lui. Le sang, la violence, rien ne lui plaisait là-dedans. Puis, pourquoi se salir les mains alors que les morts étaient la meilleure des armes ?

-Ne soulève pas de questions si tu ne veux pas y répondre, lâcha-t-il après que Marwan lui aille dit avoir déjà été dans une situation semblable à la sienne mais que... malheureusement, il n'en parlerait pas plus. Je ne serais jamais né si mon père n'était pas allé voir ailleurs. Ce n'était donc peut-être pas une si mauvaise chose. Je préfère le voir de cet angle. Mais je suis trop fidèle pour tromper ma femme, même avec une servante, alors ça ne risque pas de se produire. Rassure-toi.

Non, effectivement. Maximus n'était pas le premier à vouloir attenter à la vie de Caeso, d'Aulus ou d'Octave mais, jusqu'à présent, les hommes étaient tous toujours vivants et s'en étaient sortis plutôt bien. Celui s'en sortant le mieux étant Aulus puisque à défaut d'avoir une garde rapprochée nombreuse comme son père, il avait, plus ou moins, trois gardes à temps plein pour surveiller ses arrières mais maîtrisait ses assaillants tout seul avant de les torturer à sa manière des heures, des jours, des semaines durant avant de les relâcher, de les offrir à des copains fortunés ou de les revendre à un marchand d'esclave de la région, tout dépendait de la qualité et du comportement de la "marchandise"et de "comment" il avait tenté de le tuer. Il faisait varier les peines selon les techniques employées.

-De définition, l'imaginaire reste quelque chose de fictif et fantaisiste. Je ne suis plus un enfant auquel on peut raconter des contes : Je ne crois plus aux rêves.

Ce n'était pas pour rien que la plupart des contes grecques se terminait mal pour le protagoniste humain dans plusieurs des cas, tombant favorable aux dieux. Les humains n'étaient pas parfaits, ils faisaient des erreurs, les dieux leur faisait payer ça.

-Pourquoi voudrais-je abolir l'esclavage ? demanda-t-il soudainement, comme si cela lui paraissait totalement farfelue comme idée, ce qui était d'ailleurs le cas... Ce n'est pas en viant une idylle amoureuse que je pourrai me concentrer à ma quête de devenir un meilleur empereur. Une femme solide et pas trop envahissante sur laquelle je n'aurais pas envie de sauter toutes les trente secondes sera parfait.

Autrement dit, si sa femme pouvait être jolie, gentille, respectueuse et un peu indépendantiste mais qu'il n'en soit pas follement amoureux, il serait le plus comblé des hommes.

-Chaque personne a un sens bien à elle du Devoir.

Pour lui, c'était de faire passer le bien de l'empire avant le sien en s'y consacrant corps et âme et en tentant de chasser toutes distractions de son esprit. Pour Leana, c'était de rester auprès de lui et d'accomplir son rôle de servante jusqu'à la toute fin, comme une mission divine. Elle en avait le droit, il en avait le droit. C'était parfait comme ça.

-Sans descendance... hm.... comme toi ?

Fallait croire que Caeso aimait tout particulièrement jouer avec le feu et être sur la corde raide. Ça devait être le goût du risque qui l'excitait et non Maximus à proprement parlé. Ça semblait tout a fait logique. Il s'en convainquit donc.

-Non mais ça défoule, rétorqua-t-il, j'en avais besoin. Et si les lapsus sont si révélateurs, tu pourras peut-être en déduire que je mourrais d'envie de me faire frapper gratuitement !
Quel sarcasme ! Quel ironie !

Maintenant que son poing avait rencontré l'estomac de Maximus - demeuré, bien sûr, totalement impassible à la douleur - Caeso se demandait ce qui le soulageait le plus entre torturer le gladiateur à l'aide de mots ou le frapper directement alors que son interlocuteur s'efforçait d'endurer le tout en silence et sans réplique, du moins, pas physique.

-Alors, si cela est ta seule arme. Je pense que je peux remettre en question tout ce que j'ai précédemment dit à ton sujet : Tu n'as pas d'honneur. Un homme d'honneur n'en attaque pas un autre sous la ceinture ! C'est totalement immoral et encore plus dégoûtant d'y toucher que de seulement en parler, voir même de mimer.
C'est pourquoi Aulus n'a aucun honneur...

Caeso pouvait bien fantasmer sur qui il voulait, tant que ça restant dans sa tête, de toute manière Marwan ne connaissait pas ses pensées, bon sang, pas besoin de se couper de ce qu'il l'excitait. Puis, de toutes manières, il s'était convaincu que le goût du risque était ce qui l'excitait sérieusement.
Il devenait vulgaire lorsqu'il était en colère. Pas de sa faute.

-Je ne veux décevoir personne. Je pourrais peut-être te redonner à mon frère, alors, ou te prêter à lui. Je suis sûr qu'il se ferait une joie de faire ce que je ne veux pas tenter...!

Maximus n'était pas un mauvais spécimen d'homme. Caeso pensait que Aulus ne serait pas dégoûté de l'initier à quelques plaisirs masculins, le genre de truc à faire vomir un pur hétéro comme l'ex-général d'armé.

-Mon frère, tu pourrais encore en être surpris..., il laissa sa phrase en suspens, laissant Marwan imaginer toutes les choses dégueulasses qu'il pouvait, simplement pour s'amuser. Quant aux autres, je n'en sais rien.

"Je suis gay" n'était pas écrit en gros caractères noirs sur le front de tout le monde.

-Je l'ignorais..., murmura-t-il en se pinçant la lèvre. Je ne savais pas que mon père faisait marqué les esclaves de la famille. Personnellement, je ne le fais pas et je crois que la pratique tend a disparaître au profit de collier, couleurs ou médaillons car le tatouage est permanent, justement, là est tout le problème de la revente et de l'affranchissement. Il fit une pause. Si elle préfère souffrir, c'est qu'elle est sérieusement maso.

Le gladiateur partit alors sans un mot de plus. Il n'y avait pas besoin. Caeso savait qu'il allait voir Leana. Il ne dit rien, ne fit rien pour l'en empêcher. Il espérait que Maximus aurait de mauvaises nouvelles à lui annoncer. Leana ne l'aimait pas, Leana ne faisait ça que pour garder un job décent. Mais une petite partie de lui priait pour qu'elle lui retourne ses sentiments, une toute petite, rikiki, partie de lui-même, trop petite pour un quelconque poids dans la balance. Tout serait bien plus facile si l'histoire s'arrêtait là pour cause de sentiments non-réciproques.

Dépité, Caeso se laissa tomber lourdement en étoile sur son lit et ferma les yeux. La perle pouvait attendre, Maximus pouvait prendre son temps, Leana pouvait se reposer : Il voulait dormir, récupérer le temps de sommeil qu'il n'avait pas eut. Ses paupières tombaient toutes seules, il pourrait dormir debout, il le ferait couché.

[Ah... les commandes de PnV, je les avais mises dans un tout petit coin de ma tête, presque oubliées... Une chance que tu me rappelles ! x) ]
[Le refourguer à Aulus... Hum... Je pense que Caeso pourrait vraiment envisagé de de faire une telle chose, ne serait-ce que pour donner une bonne leçon à Maximus, lui prouver qu'il serait un bien meilleur empereur que son frère et qu'il n'était pas le pire des deux enfants d'Octave ! xD Puis, en même temps, il aurait sa petite revanche sur le gladiateur ! (Puis, Aulus est super déçu de ne plus qu'avoir un jouet pour lui, là, alors il prendrait bien un deuxième, même pour une période indéterminée... ! ;D)][/color=black]

Au bout d'un moment, Caeso ouvrit les yeux pour fixer le plafond de son lit à baldaquin. Il soupira longuement, se remémorant la discussion qu'il avait eut avec le gladiateur. Il ne comprenait pas pourquoi ce dernier avait tant de mal à accepter son sort. Faudrait-il qu'Octave le marque au fer rouge comme, semblerait-il, il aurait marqué les autres esclaves de la famille impériale pour que Marwan comprenne là où était désormais sa place ? Puis, Caeso n'avait pas l'impression d'être un mauvais maître. Il ne demandait rien de trop ingrat ou dangereux, il ne s'amusait pas comme son frère. Non, Maximus ne pouvait se plaindre de rien. Il aurait pu tomber sur bien pire que Caeso. Ne pouvait-il pas simplement en être satisfait et accepter sa condition.

-La manière dont tu te vois n'a aucune importance ! avait-il répliqué avec vivacité lorsque le gladiateur avait, une nouvelle fois, renié le fait qu'il était son esclave, désormais.

Ensuite, les paroles du gladiateur avait un peu blessé Caeso mais il avait tenté d'en laisser le moins paraître possible. Comment ça, Leana trop bien pour lui ? Maximus le connaissait depuis à peine deux jours et il le jugeait déjà comme pas assez bien pour elle ? Leana était une esclave. Maintenant une servante. Pour elle, épouser le fils de l'empereur, l'héritier au trône, serait un comble, non ? Puis, au fond de lui, Caeso savait qu'il cachait un coeur d'or et une grande bonté d'âme derrière son masque quelque peu tyrannique par moment. Il ne croyait pas Maximus : Il était parfait pour Leana mais les choses, le destin, avait fait en sorte que ni un, ni l'autre n'était vraiment fait pour passer sa vie avec l'autre.
Il n'avait rien dit, alors.

Le temps que Leana ne décide de réitérer la promesse de Maximus, Caeso aurait reprit l'entraînement depuis longtemps et le gladiateur aurait vieillit. D'ici là, le jeune homme avait confiance de pouvoir se défendre lui-même contre la montagne de muscle qu'était l'ex-général et s'en sortir vivant.

-Alors, je ne peux plus rien te cacher..., avait-il ensuite lâché devant le ton ironique de son interlocuteur alors que celui-ci lui faisait remarquer qu'interpeller Leana par sa condition - soit servante - pour lui retirer de l'importance était dégradant.

Pour ne pas apprécier, il n'apprécierait certainement pas ! Aulus avait un esprit plus tordu que la moyenne des gens. On ne pouvait pas dire qu'il était sans imagination ! Il inventait concept par-dessus concept pour torturer ses victimes et leur faire éprouver douleur et plaisir en même temps Sadique, pervers, tordu, morbide, loufoque et insolite... Voilà ce qu'était Aulus en quelques mots.

-Si elle ne souhaite pas être traitée comme une servante, elle n'a qu'à partir maintenant qu'elle est affranchie. Si je me met à faire des exceptions pour une servantes, les autres en voudront aussi, je n'aurai rien de crédible à leur dire et perdrai toute autorité, avait-il ensuite affirmé.

Caeso avait touché un point sensible. Il le savait. Le gladiateur serrait les poings, les muscles raides, la mâchoires crispée. Il n'était pas fière de lui mais éprouvait un très mince sentiment de satisfaction au fond de son être. Le gladiateur n'était pas totalement imperméable. Des choses pouvaient aussi le blesser et, sans savoir pourquoi, cela rassurait Caeso. Peut-être sur le fait que le puissant gladiateur était aussi un humain, comme tous les autres, comme lui, qu'il n'avait rien d’exceptionnels ou d'immortel.

-Et à quoi aura servit le fait de cesser d'être puceau si, dans ton cas, tu en as perdu le résultat ?! s'était-il exclamé furieusement, ne mesurant plus vraiment l'impact de ses mots : Marwan était fait solide.
Il voyait noir et envoyer Maximus payer pour son impolitesse entre les mains de son frère lui semblait, tout à coup, une idée terriblement alléchante.
-Balivernes ! C'est exactement ce que tu as fais ! Un homme sans honneur devrait plutôt être excité d'aller vivre de délicieuses vacances chez mon frère ! Et moi qui croyait que tu devais trouver la personne "t'ayant trahie" et, comme mon frère connaît plus de monde que moi, tu pourras enquêter davantage avec lui ! Il fit une pause pour reprendre un peu sons souffle. Ne me met pas au défi, ne m'y pousse pas où je t'envoies sérieusement croupir chez Aulus !
Il ne pouvait pas être plus sérieux. Pokerface complète.
Aulus, dégoûtant ? Vous n'avez rien vu encore !

Nouveau soupir. "Amoureuse". C'est ce qu'avait dit Maximus. Personnellement, Caeso ne préférerait pas. Si, en plus des siens, il devait se mettre à gérer les sentiments naissants de sa jeune servante, il ne s'en sortirait pas. Il pouvait repousser ses envies, se marier avec une autre, mener une vie de bon empereur sans que personne ne devine jamais qu'il soit attiré par Leana mais le monde entier finirait par deviner que Leana l'aime si c'était le cas. Ça ne pouvait pas fonctionné dans les deux sens, aucune chance.

Caeso referma les yeux. Tout serait tellement plus simple s'il n'aimait pas Leana. Parfois, il avait des envies subites de l'effacer de sa vie entière mais cela était impossible et, si se l'était, il aurait forcément manqué quelques beaux moments de sa vie avec elle. Tout était vicieux.
Il dormit au final durant une trentaine de minutes avant d'ouvrir les yeux la seconde fois. Il se frotta les yeux puis resta immbile à fixer la porte de sa chambre comme si quelqu'un allait la pousser d'une seconde à l'autre. Leana ou Maximus ? Lequel seraient le plus vite ?[/color]

[Je n'ose pas imaginer non plus ! xD Mais je suppose qu'Aulus trouverait quelque chose dans quoi puisé dans son registre de tortures ! :3
Mais, en attendant, j'aime trop jouer Caeso avec Maximus pour le refourguer toute suite à son frère ! 8D ]

On cogna à la porte. Caeso cria d'entré depuis son lit. Lorsque Leana entra, elle pu découvrir un Caeso le regard dans les vagues qui n'osait pas planter ses yeux directement dans les siens, l'évitant de ses pupilles fuyantes. Comme tracassé, le jeune homme avala difficilement sa salive puis, fermant brièvement les yeux, il les rouvrit en consentant finalement à observer Leana, vraiment. Sa bouche devint sèche, comme le désert du Sahara, voir même pire.

-Je vais bien, finit-il par dire avant de ne légèrement tourné son regard vers le bas de son lit, mais je ne peux pas autant en dire de lui... ajouta-t-il en désignant du menton un homme, un trou dans la poitrine, qui gisait au sol dans une marre écarlate.

Caeso se força à détourner les yeux malgré qu'il soit fasciné par le cadavre laissé sur son plancher, une fascination malsaine qui, il le savait, lui donnerait sûrement des frissons et des cauchemars pour les prochaines semaines. Il poussa un long soupir et releva la tête pour regarder Leana dans les yeux, accrochant son regard au sien pendant plusieurs secondes. Il était prêt à affronter ses yeux de biches bruns remplis de terreur, de dégoût et d'effroi alors qu'elle allait remarqué, sur la table de chevet, son épée déposée et d'où perlait le sang de la pointe rougie. Mentalement, ça y était, il y était préparé. Il déglutit. Son premier meurtre. Le premier homme qu'il tuait de ses mains. C'était quelque chose qu'un homme n'oubliait pas. Caeso était certain que Maximus se souvenait encore de la première fois où le sang avait coulé dans ses paumes.

-Des traîtres dans ma garde rapprochée, dit-il, ils se sont sûrement infiltrés pendant le voyage depuis Rome.

Mais... Bon sang ! Malgré leur traîtrise, Caeso n'avait pas voulu tuer cet homme. Mais... il y avait été poussé ! Il ignorait si son ennemi avait tenté de le bouleversé émotionnellement ou de le secoué mais, en l'empoignant ainsi à la gorge, il ne lui avait pas donné d'autre choix que de celui de lui retirer la vie d'un coup d'épée dans le ventre. Caeso ne faisait peut-être pas le poids face à Marwan mais il n'en demeurait pas moins que son service militaire était fait et qu'il savait se défendre. Il était bien capable de venir à bout d'un ennemi peu-entraîné et sans organisation. Il avait attaqué sur un coup de tête, entrant tout bonnement dans la chambre sous prétexte d'avoir une missive à apporté, déguisé en garde. Et il l'avait attaqué, sans préambule. Caeso s'était défendu, du mieux qu'il le pouvait, tentant de ne pas faire gicler trop de sang mais les tentatives d'offensives de son adversaire étaient devenues plus violentes - il voulait réellement le blesser, voir le tuer - alors Caeso avait dû riposté, du mieux qu'il le pouvait jusqu'à ce que mort s'ensuive...

-Tu n'as pas à voir ça. Je vais demander à ce que l'on le sorte d'ici. Tu peux partir, si tu ne veux pas voir.

Son esprit était davantage occupé à rejouer et rejouer la scène dans sa tête qu'à se préoccuper de sa jeune et jolie servante dont il était amoureux mais, néanmoins, il essayait tout de même de se montrer gentleman et d'éviter à la jeune femme la vision du mort que l'on transporterait hors d'ici.

-Je ne t'imposerai pas non plus le nettoyage.

Durant un bref instant, il songea que les traîtres avaient dû attendre que Maximus sorte pour l'attaquer. Ce dernier avait donc faillit à sa tâche de protection : Caeso allait lui en reparler, il pouvait en être sûr ! Bien sûr, le futur empereur ignorait qu'il s'agissait d'un attentat double et que l'on avait également tenté de s'en prendre à sa Leana. S'il l'apprenait, sa réaction serait assez imprévisible... Il pourrait tout aussi bien demandé le renvoie de Leana pour l'éloigner des gens lui voulant du mal à cause de lui et faire passer des avis de mort sur les suspects ou les membres du même groupe - à compter qu'il y en ait un - ou vouloir ne plus jamais quitter des yeux la jeune femme pour la protéger.

-Vas me chercher Marwan, finit-il par ordonner sans méchanceté. Je gérerai ça avec lui.

Il n'avait pas peur - ou peut-être un peu de la réaction de Leana - mais, plutôt, il avait honte. Il n'était pas un tueur dans l'âme. Pour quelqu'un comme lui, tuer quelqu'un, même une personne ayant tenté de le tuer était un geste grave. De plus, c'était son premier mort. De quoi le rendre davantage stoïque.

-Ça ne sert à rien, dit-il calmement, sans élevé la voix, alors que Leana se défoulait à coups de pieds violents contre le cadavre, il est mort.

Caeso remarqua brièvement que Leana portait les nouvelles tenues qu'il lui avait fait porter le jour précédent en espérant qu'elle partirait et cela lui donna un coup. Elle était magnifique là-dedans, là n'était pas le problème. Mais plutôt que si elle avait réellement quitté l'enceinte du château hier soir dans ses habits, Caeso était certain qu'elle se serait faite aborder bons nombres de fois par des gentilshommes (parfois pas si gentils...) sur la route, personne n'aurait pu deviner qu'elle était autrefois une esclave. Pire encore, Caeso se reprenait à penser à l'idée qu'avait suggérer Marwan quant à déguiser Leana. Une idée qu'il avait pourtant décider de classer comme infaisable dès le début. Qu'est-ce qui lui prenait, bon sang !?

-Comme tu veux, lâcha-t-il ensuite lorsqu'elle s'approcha de lui pour vérifier qu'il était toujours en une seule pièce.
Elle semblait tellement inquiète que le jeune homme se voyait mal lui refuser quoique ce soit. Il agrippa donc la ceinture de sa toge et la défit pour dévoiler son torse à la jeune femme et lui prouver qu'il n'avait rien, la rassurer. Enfin, rien, sauf une ecchymose au niveau de l'épaule qu'il s'était blessée la veille et d'une autre sur sa gorge plus pâle, il n'avait rien. Rien de grave donc.
-Je... heu... Je te l'avais dis : Que j'étais sain et sauf, en un seul morceau, répéta-t-il alors qu'elle l'enlaçait et que ses joues viraient au rouge.
Caeso n'était pas très à l'aise lors de ce genre de démonstration d'affection, qu'elle soit donnée par qui que ce soit d'ailleurs.

-Ne te reproche rien. Tu n'aurais rien plus faire de plus puis, regarde, je me suis débrouillé seul, dit-il en essuyant la larme qui avait coulée sur sa joue d'un doigt.

Caeso ne savait pas que Leana avait été agressée et il n'avait pas porté attention à de quelconques marques marquant sa peau mais s'il l'avait sut, il lui aurait toujours dis que le propre attentat a avoir été mené contre lui n'était pas de sa faute. Ce qui aurait été vrai.

-Ne l'appelle plus général ; ce n'est plus ce qu'il est, lâcha-t-il simplement quelque peu sèchement avant de ne réfléchir durant un moment. Alors il va sûrement revenir ici mais je l'attendrai de pied ferme, assura-t-il. Je vais, dès que possible, instaurer parmi les gardes des tours de garde en équipe de deux avec des équipes déterminées au hasard à la dernière minute pour éviter la préparation de quelque chose.
Il éviterait ainsi que deux terroristes ne se retrouvent ensemble durant le même tour de garde et que qui que ce soit n'ait l'occasion de préparer un attentat à l'avance puisque les coéquipiers seraient totalement hasardeux et de dernière minute. Personne ne préparait d'attentat à la dernière minute. Puis, Caeso savait que tous ses soldats n'étaient pas corrompus. Un terroriste aurait du mal à entraîner un garde fidèle dans son plan débile.

-Je ne suis pas en danger. Je sais me défendre seul.
Il fit une pause.
-Et c'est également le travail d'un bon maître de veiller à la sécurité de ceux et celles qui travaillent pour lui.

Il haussa les épaules.
-Je t'ai donné ta liberté mais tu as choisi de rester. Il serait peu honorable de te donner les tâches ingrates que l'on réserve aux esclaves n'ayant pas mérité leur affranchissement.
Dans la tête de Caeso, c'était tout de même un peu plus compliqué que ça. Il pensait tout d'abord qu'il ne voulait pas que Leana salisse sa robe avec le transport de cadavre ou qu'elle fasse des cauchemars de cette vu ou quoique se soit d'autre. Il aimait la jeune femme et ne voulait pas lui imposer quelque chose de similaire.

Il hocha alors simplement la tête alors qu'elle partit chercher Marwan. Caeso avait un sacré savon à lui passer, à lui ! Il le savait, comme un pressentiment, que les ennemis attaqueraient dès que Maximus ne serait plus dans la chambre.

Il demeura complètement impassible lorsque Maximus s'occupa tendrement de Leana. En temps normal, ces petits gestes qu'il eut pour elle l'auraient certainement rendu un peu jaloux mais, là, il était obnubilé par le cadavre au pied de son lit et l'odeur de sang qui ne voulait plus le lâcher. Il prendrait des douches en ligne pendant les trois prochains jours pour que l'odeur de sang frais - qu'il se l'imagine ou non - ne décolle des pores de sa peau.

-Je ne veux pas de félicitations pour un acte pareil. Il n'y a pas de félicitations à acquérir, je ne suis nullement fier de mon geste, rétorqua-t-il sévèrement Maximus, ne comprenant pas pourquoi un meurtre réjouissait ce dernier. Je n'aime pas le terme "débarrasser". Fais-le simplement brûler avec quelques prières, se sera suffisant.
Caeso avait vraiment un profond respect pour la mort et le fait de retirer la vie à quelqu'un. Du haut de son jeune âge, voir même lorsqu'il serait plus vieux, il ne se voyait pas apte à décider de qui devrait vivre ou mourir. Ce n'était pas aux humains à décider de ça. Les Dieux pouvaient très bien s'en charger.

Il haussa un sourcil lorsque Marwan rajouta quelque chose sur Leana. Il tiqua pour de bon lorsqu'il poursuivit par "elle n'a rien..."
-Que... ? Que s'est-il passé ? demanda-t-il alors, légèrement énervé que la jeune esclave ne l'ait mis au courant de rien alors que, d'après ce qu'il en déduisait, elle s,aille faîte agressée.
-Je vais parler à mon frère de ça. Je doute qu'il soit derrière les attentats mais son aide sera apprécié pour débusquer les traîtres.

C'est au même moment que Leana commença à taper sur le gladiateur. Caeso regarda la scène, un peu prit au dépourvu. Il ne bougea pas. Puis lorsqu'il eut enfin les informations concernant ce qui était arrivé à Leana il entra dans une rage noire qu'il sut, heureusement, contrôlée et ne laisser paraître que par son visage mécontent et ses yeux qui lançaient des éclaires. Quand il retrouverait tous les traîtres, il leur ferait payer pour ça !

-Quoi ?! Pourquoi ne m'as-tu rien dis, Leana, dès le départ ?! s'exclama-t-il, agacé. Je suis en droit de le savoir si un traître tente de v**ler puis de tuer ma servante, ne le crois-tu pas ?

Caeso haussa un sourcil à la question de Marwan puis haussa les épaules. Il ne broncha pas d'un millimètre.
-Je compte rester là. Tu te fais frapper par une femme et refuses de la frapper à ton tour. Elle te passe un savon à ma place, je trouve ça amusant donc je vais te laisser te débrouiller seul.
Il ne pouvait pas croire qu'un puissant guerrier soit incapable de se débarrasser d'une simple femme.

Après avoir annoncé ces mots, Félix releva la tête en direction du jeune fils de l'empereur, faisant attention à ne pas croiser son regard. Ses yeux noirs passèrent rapidement sur le contenu des appartements d'Aulus. Il n'en avait jamais vu de tels, si luxueux, avec tant de tissus et de confort. Dans les vielles caves des arènes de Pompei, il n'avait connu que les murs suintant d'humidité, une vielle couche en paille par jour de chance et la compagnie des rats. Voilà bien une chose que l'héritier de l'empire n'avait pas connu!

Celui-ci prit alors la parole, faisant part de son désarroi de la mort de son adversaire. Droit sur ses pieds, Félix reprit la parole, avec respect.
- Il est mort avec honneur, après s'être battu à l'image de son peuple. Puisse les Dieux lui accorder le repos aux Enfers,fit-il.
Jugeant bon de ne pas relever cette possibilité d'affrnahcissement, il suivit Aulus jusqu'à la petite table où était disposées quelques coupes. Les observant avec attention, il prit celle que lui tendait son interlocuteur dans ses doigts. Acquiéçant, il leva sa coupe avant d'y tremper les lèvres.

C'était un breuvage autrement différent que celui qu'ils avaient les jours de fête chez Tallius. Celui-ci était plus fruité, plus subtil. Le Lybien savoura quelques instants le goût de l'alcool enivrant sur son palais avant de s'asseoir sur la chaise. Ses sourcils se haussèrent à la vue des épingles à linge. Pourtant il ne tressaillit pas une seule fois lorsqu'Aulus les installa sur sa peau, buvant des gorgées de vin à intervalle régulier. La douleur de sa bras disloqué le faisait souffrir, bien qu'il n'en laissa rien paraître. Des articulations avaient probablement été endommagées.
Il attendit donc la fin des test de son nouveau maître.

Coucou Emmy. Comment ça va?

Je fais du HRP car je m'ennuie! C'est dit, c'est fait! Le forum est désertique, c'est une honte  

Je vais lancer un sort méga puissant *eh ouai* et tout le monde va ramener son popotin vite fait bien fait.

Bah oui quoi je suis frustrée pour tous les rp, je suis en méga suspens   Entre ça et les séries où j'attends les nouveaux épisodes je vais finir avoir une crise cardiaque.

Bon bah je vais me coucher du coup.

*La fille qui ne désespère pas de passer tous les jours espérant que les rp où elle est vont bouger plus que ça*. L'espoir fait vivre

Aulus.
Alors que Félix se sente chanceux : S'il se tenait bien, jamais plu il n'aurait a supporter ces caves humides infestées de vermines et grandes comme deux tuiles de marbres. Par contre, il était évident qu'Aulus allait le soumettre à d'autres épreuves, voir des épreuves pires que l'arène. Enfin, tout dépendait de la vision du gladiateur des choses. Peut-être que subir le supplice des aiguilles lui paraîtraient plus doux, voir reposant, qu'un combat, après tout. Suite à ces pensés, Aulus haussa les épaules et continua son petit manège, une épingle à la fois.

-Et à quelle profondeur des Enfers serait-il, selon toi ? demanda-t-il avec un mince sourire sur le bord des lèvres alors qu'il posait la question.
Aulus était surpris par le respect que Félix témoignait à son défunt adversaire. Depuis quand les assassins éprouvaient-ils de l'empathie pour leurs victimes ?

Lorsqu'il eut finit d'accrocher toutes ses épingles sur la peau de Félix d'un seul côté, il ramassa dans sa boîte une ficelle et passa cette dernière dans toutes les épingles, l'attachant à la dernière. Impressionné par la résistance de Félix, il siffla entre ses lèvres puis tira sur la corde qui se raidit et rapprocha les pinces l'une des autres. Il donna quelques petits coups secs supplémentaires, observant la peau se plisser et s'étirer puis, finalement, il tira fort et toutes les princes sautèrent. Il remit les épingles dans la boîte et roula la ficelle autour de son poignet, hochant la tête, approbateur : Il aimait son nouveau jouet.
-Tu résistes étonnamment bien à la douleur, c'est exactement ce que j'aime chez... hum... les gens qui me servent comme toi.
Il sourit.
-Seras-tu prêt à aller plus loin ? J'ai beaucoup de choses de prévues pour toi, affirma-t-il.
Il passa sa langue sur ses lèvres puis alla ranger sa boîte.


Il laissa les paroles de Leana couler. Entendre toutes ses choses de a bouche le réjouissait vraiment, lui faisait plaisir mais il fit comme si cela ne l'atteignait pas ou, du moins, il ne réagit pas, ne dit rien. Il se mordit la lèvre pour se forcer à se taire même si l'envie d'attraper la jeune femme et de l'embrasser à pleine bouche ne manquait pas, à vrai dire. Il était loin de s'imaginer que son torse avait à peu près le même effet sur les pensés de sa jeune servante.

-Je suis plus solide que ça, lâcha-t-il simplement, se demandant comment Leana pouvait ne serait-ce que penser qu'elle lui avait fait mal avec ses mains délicates et toute l'attention qu'elle avait porté à ses gestes alors qu'elle l'examinait minutieusement.

Il hocha simplement la tête à tout ce qu'elle disait, prenant en compte les informations importantes qu'elle laissait filtrer.
-Si tu sais quelque chose sur tes agresseurs, il faut m'en faire part.

Ce n'était pas que Maximus l'agaçait mais plutôt qu'il le faisait ch*er royalement. Et il le gardait auprès de lui pour lui remettre la pareil et que, même si c'était totalement inavouable, Caeso n'avait d'autre choix que de se rendre à l'évidence : Il était incontestablement attiré d'une manière ou d'une autre par Maximus, que ce soit par sa maturité d'homme ou son expérience, il n'en savait rien. Il avait à peine vu le corps de Maximus et... et... et il n'y comprenait absolument rien ! Donc, pour lui faire vivre tout ça, Caeso souhaitait le faire royalement ch*er à son tour!

-Bien fais pour lui, laissa-t-il échappé, un peu comme un gamin, un sourire aux lèvres lorsque Leana lui fit part d,avoir giflé le gladiateur, plus tôt. J'ai tué cet homme, je sais me protéger seul mais j'admet que cela puisse être un peu plus ardu durant la nuit. Si Marwan avait voulu me tuer, il l'aurait fait voilà bien longtemps, c'est pour cela que je le garde auprès de moi. Il a dit assurer ma sécurité, je suis persuadé qu'il le fera. S'il échoue à sa tâche, je m'assurerai qu'il le paye et pas de sa mort mais il voudra mourir entre les mains de mon frère. Je sais que tu pourrais passer des nuits blanches pour moi mais, même si je ne doute pas de tes compétences, je ne crois pas que tu sois assez forte contre des hommes expérimentés, il vaudrait mieux que tu veilles qu'à ta propre sécurité. Fais cela pour moi, d'accord ? Tu as promis que tu ne laisserais rien t'arriver...

Caeso avait un peu ouvert son coeur mais cet instant où il avait eut l'impression de redevenir un gamin n'avait pas duré longtemps.
Il parut réfléchir durant plusieurs minutes, se demandait si ce meurtre qu'il venait de commettre devrait se savoir de tous ou demeurer secret bien gardé.

-Laissez les choses comme elles le sont, ordonna-t-il finalement, si quelqu'un pose des questions, dîtes que j'ai tué cet homme et si personne ne demande, ne dite. Rien de mieux que de faire comme si j'avais l'habitude de ce genre de chose pour me faire paraître comme un tueur expérimenté.
Ce qui n'était pas le cas puisqu'il n'en était qu'à son premier mort. Alors qu'il demeurait le visage froid, Leana finit par dire quelque chose qui finit naître de l'amusement sur ses traits.
-Mais quelle bonne idée tu as là ! s'exclama-t-il. S'il doit se débarrasser du cadavre, que Marwan nettoie aussi le reste. De toute manière, si j'ai dû tuer cet homme, c'est uniquement parce qu'il l'a laissé se faufiler jusqu'ici. Il doit réparer ses torts, dit-il tout en posant un regard pesant et impérieux sur l'ex-général de l'armée, lui ordonnant de manière implicite - ou pas tant - de nettoyer la scène de crime.
-Je veillerai à ce que ce genre d'abus sur les esclaves qui n'appartiennent pas à la personne les abusant ne soit plus "chose courante" d'ici peu, affirma-t-il.
Surtout que le concept de propriété était quelque chose d'important pour les romains.
-On ne se sert pas sur ce qui ne nous appartient pas. Puis, de plus, tu n'es plus une esclave. Ces gens n'avaient aucun droit de faire ça sur toi.

Caeso offrit un sourire carnassier au gladiateur.
-Si je veux que son âme pourrisse et souffre dans les abysses les plus profondes de l'Enfer, tu dois bien prier pur y conduire son âme...

Il acquiesça ensuite simplement.
-Non, ce n'est pas le genre de on frère. Et s'il avait voulu abuser d'elle, il l'aurait fait lui-même, bien que préférant les hommes.
En fait, il s'était plusieurs fois demander si son frère n'était pas bi' mais les années avaient confirmées que non, Aulus ne semblait juste pas être dérangé de partager son lit avec des femmes, même si ces dernières ne l'attiraient pas physiquement. Puis, bien qu'il préfère les hommes, il était toujours capable de reconnaître une belle femme lorsqu'il en voyait une.

-L'attacher ?
Des tas d'images complètement indécentes traversèrent son esprit, parfois impliquant Maximus, d'autres fois non.
-Tu n'as pas besoin de l'attacher, laisse-la se défouler sur toi. Ça m'amuse et, vu la vigueur qu'elle y met, elle sera bientôt épuisé et se calmera d'elle-même. Ça ne durera pas bien longtemps encore.

Salut les poulettes!
Pour celles qui ne l'ont pas vu, j'ai actuellement un problème avec mon ordi. Suite à un léger impact, un "joint" s'est décollé et le système d'alimentation est rentré à l'intérieur du truc. Bref, je ne peux plus l'alimenter. Pour pouvoir venir, je jongle entre deux batteries, en utilisant une pendant que la seconde recharge sur l'ordi de ma soeur mais elles ont à tout casser 1h10 de charge. Donc, c'est un peu galère de venir pour répondre à tous les RPG!

Après, je viens d'être en vacances depuis ce soir, ça devrait aller mieux :]
J'attends encore des confirmations, peut-être que je travaillerai la première semaine mais je serai là les soirs, c'est sur ;)


Pleins de bisous d'amour à tête chercheuse! Smack! ♥