-Nous aurions du attendre quelques jours, que la rumeur me précède...
Marcus avait un visage tendu, et la commissure de ses lèvres tremblaient très légèrement. Il était particulièrement stressé.
Des fêtes, c'était plus que courant à Rome, mais jamais elles n'avaient eut autant de signification que celle d'aujourd'hui.
Il était le fils aîné, on attendait beaucoup de lui, et surtout de regagner l'honneur de sa famille ruinée et humiliée.
Avec en plus trois soeur à mariés et sans dot convenable. Marcus sentait le poids des responsabilité lui tomber d'un coup. Il fallait qu'il se fasse un nom, il fallait qu'il devienne important dans la cité, peut-être un jour parviendrait il à devenir gouverneur.
Il fallait juste qu'ils oublient son père.
-Ca aurait été pire, au moins, la plupart ne te connaîtront pas, et réaliseront qui tu étais demain, quand la rumeur aura commencé à circulé. Lui chuchota l'une de ses soeurs.
Mais Marcus tressaillit, là à l'entrée, il venait de reconnaître quelqu'un, quelqu'un qui venait de Rome.
Le bâtard de l'empereur.
Cela expliquait la fête.

(J'ai une questionnette ;o; c'est lequel des trois noms qui est conservé pour les femmes déjà ?)

Dernière modification par lucimaru (2014-12-25 19:58:51)

mimichousse a écrit:

~Leana~

Voilà qu'elle voyait bien le vrai visage de la jeune fille qui avait osé la gifler. Si elle pensait vraiment effrayer la jeune esclave c'était raté. Décidément ces personnes riches avaient du mal à affronter la vérité en face c'était évident.

Ma place? Je n'ai fait que vous dire la vérité sans vous manquer de respect. Je ne vous ai point offensé à ce que je sache...J'ai dû le faire car étant donné votre rang vous aurez fait mine de ne pas savoir de qui il s'agissait. Vous me parlez de respect et d'obéissance? Permettez-moi de vous retourner la question: vous n'avez ni morale, ni respect ni obéissance envers quiconque.

Cassia ne serait pas la première à la menacer. Leana avait peut-être la langue bien pendue mais c'était une servante fidèle et dévouée et ça de nos jours c'était difficile à trouver.

La jeune esclave la regarda partir, sachant pertinemment que c'était le pot de fer contre le pot de terre, jamais personne ne la défendrait et ne la croirait.

[Aha, d'accord, tu me gardes la surprise, alors ! :3 ]



Vraiment, il allait parti mais à l'instant où il quitta la rangée des gladiateurs, une idée folle lui traversa l'esprit. Alors, Aulus se retourna et revint sur ses pas, un sourire remplit d'amusement. Il revint se planter entre Milo et Félix et leur sourit, joueur.

-J'ai eu une idée. Je vais vous tendre une opportunité de sauver votre vie misérable. Si, demain, lors de votre combat, l'un de vous réussit à estropier l'autre à main nue, je le déclarerai vainqueur du duel et lèverai mon pouce en l'air pour sauver la vie de l'autre et lui autoriser à recevoir les premiers soins avant qu'il ne se vide lentement de son sang...

Ainsi, celui qui avait été estropié ne vaudrait plus rien pour le maître de gladiateur et son prix baisserait de moitié, voir du trois quart. Alors, Aulus achèterai les deux gladiateurs. Il imaginait déjà tout ce qu'il pourrait faire avec ses deux hommes forts ! Comme se serait amusant ! Il fit une pause puis afficha un sourire sadique.

-Mais si personne ne réussit à estropier personne, et bien, se sera simplement un combat jusqu'à la mort alors je vous conseille de garder la forme.

Aulus sourit d'une manière charmante qui n'allait pas du tout avec la situation. Il allait rajouter quelque chose mais, près de là, une bagarre éclata. Il semblait qu'un gladiateur n'ait pas encore compris là où était sa place et se débattait contre les coups qui s'abattaient sur lui pendant que l'on tentait de l'immobiliser. Soudainement intéressé, Aulus s'approcha. Durant un moment, il resta à distance raisonnable.

-Comment s'appelle-t-il ? demanda-t-il. Et combien vaut-il au combat ?

Des idées obscures tournoyaient dans l'esprit d'Aulus. Ce gladiateur était fou. Exactement le genre de présent que l'on offrirait à quelqu'un qui ne pouvait refuser et que l'on détestait...

Caeso.
Nullement intéressé parce que son frère mijotait, Caeso était davantage concentré sur le cheval qui arrivait, au loin. Un homme et trois femmes d'après ce qu'il pouvait en percevoir. Celui lui rappela étrangement sa mère mais il chassa rapidement cette pensé de son esprit, la balayant comme un coup de vent. Lorsque les hennissements de la bête eurent cessé, intrigué par le retardataire, Caeso s'approcha. Il jeta un vif regard à l'homme puis s'inclina pour les charmantes demoiselles.

-Puis-je ? demanda-t-il en tendant la main pour aider la première soeur à descendre sur la terre ferme.

Marcus observa l'homme en question tendre la main à l'une de ses soeurs. Même illégitime, il restait plus riche et plus honorable qu'eux dans le principe. Il ne réclamerait peut être pas une énorme dot, c'était surement un bon partie pour ses soeurs, qui sait ?
Desticia sourit légèrement et prit la main de Caeso. Elle le remercia d'un signe de tête:
-Vous êtes vraiment charmant, lui dit elle.
Marcus descendit à son tour:
-Peut on savoir à qui nous avons honneur ? demanda t il tandis qu'il faisait descendre ses deux autres soeurs de son cheval.

Marcus eut un petit sourire en coin, voilà que monsieur le bâtard du roi faisait la fine bouche pour son introduction:
-J'avais un doute, je préférais demander, et cela permettait à mes soeurs de connaître le fils illégitime de l'empereur.
La plus jeune attrapa le bras de son frère:
-Allons profiter de la musique Marcus ! On dit qu'ils les ont fait venir de Rome, tu te rends compte ?
Elle se fichait du protocole, et sourit à Caeso:
-Vous danserez aussi non ? On dit qu'à Rome les hommes sont beaucoup moins timides qu'ici !
Ses deux soeurs soupirèrent, tandis que Marcus se disait qu'il n'était pas près de marier Desticia Minor...
Il alla attacher son cheval.

Milo.

Quelle peur pouvait habiter les yeux d'hommes qui avaient toujours vu la mort sous leurs yeux et en avaient été les acteurs? Quitter ce monde? Il ne leur avait rien offert si ce n'est la servitude. Non, comme à chaque combat, ils seraient... indifférents. Ils agiraient comme de simples animaux, faisant leur possible pour survivre mais la mort ne leur ferait pas peur. Tous les hommes doivent mourir, après tout, peu importe le temps que cela prenait. Inconsciemment, que cela soit Félix ou Milo, tous deux savaient l'issue du combat. Aussi rapide soit le dernier, il ne vaincrait jamais le lybien, dont l'expérience du combat et le poids colossal mettrait rapidement à terre le jeune celte. Il n'y aurait aucune gloire dans ce combat, contrairement à ce que pouvait croire Aulus: ce ne serait que le pure massacre d'un jeune gladiateur pour satisfaire le fils de l'empereur.

Alors que tous deux conservait leur position statique, Aulus revint cependant vers eux, les surprenant. Félix écouta avec attention ce qu'il dit et un sourire machiavélique étira ses lèvres. Cette perspective était intéressante. Il ne serait pas poussé à tuer tout de suite Milo mais pourrait jouer un peu avant. Un prédateur et une souris. Milo fronça les sourcils. Que souhaitait donc Aulus pour décider de tels évènements? Pourquoi vouloir briser sa carrière ainsi, et donc sa vie? Tous savent qu'un gladiateur infirme n'a pas une espérance de vie bien élevée. Ne servant plus à rien, il est rapidement jeté à la rue, si ce n'est tué dans son sommeil par des gardes. Sur l'honneur de Jupiter, que manigançait donc Aulus?

Une fois celui-ci parti, visiblement curieux du dernier gladiateur fou arrivé, Milo plongea son regard cendre dans les yeux de Félix.
- Si l'un de nous deux doit mourrir, il mourra. Les Dieux n'offrent d'autres cadeaux que la mort aux gladiateurs, c'est leur seule libération possible. Mourrir dans l'arène, c'est mourir en insoumis, cracher à la figure de Rome et c'est la gloire de chaque gladiateur,, prononça-t-il d'une voix grave, suffisament doucement pour que nul autre que Félix ne l'entende.


Cassia.
Cassia n'écouta même pas les dernières paroles de l'esclave, bien décidée à trouver son propriétaire pour lui toucher un mot de toute cette histoire. Ce manque de respect évident et notamment dans sa dernière phrase, lui sautait aux yeux. C'était inadmissible de la part d'une domestique de parler ainsi à quiconque, et notamment à une personne de son rang. La même personne qui venait de lui faire la morale sur le fait qu'elle juge sans connaître la jugeait elle-même. Savait-elle seulement qu'elle avait assez connu Caeso et son frère lors de ses études à Rome pour pouvoir se faire son propre avis? Non. De toute façon, elle n'était pas en droit de ramener son avis, ainsi. Qu'elle le fasse en privé avec son maître si celui-ci le lui autorise! Mais jamais, au grand jamais, Leana n'aurait du lui manquer de respect. Qu'importe qu'elle soit fidèle et dévouée, il faut apprendre à se taire.
Partant en faisant virevolter les rubans de sa robe, Cassia retourna dans la grande salle dans l'espoir de retrouver cet imbécile de Caeso, ou du moins son frère.

Je me bouge, je me bouge!

Dernière modification par transparente (2014-12-26 18:36:34)

Et bien ! Aujourd'hui semblait être le jour des courses ! En venant à Pompéï, il avait été certain de trouver quelques sources de divertissements ici et par là mais à en trouver trois ! À acquérir trois belles pièces de collection ! Alors, ça, il ne se l'imaginait pas ! Mais les choses semblaient tourner en sa faveur, ce soir. Il était venu pour avoir du plaisir et nul doute qu'il en aurait, déjà, la situation de Milo et Félix le rendait jouissif, le gladiateur fou rajouterait à son amusement.

-Tuer à mains nues, vous dîtes ? répéta-t-il, un sourire amusé pendant à ses lèvres alors qu'il jetait un vif regard à Milo et Félix qui n'avait pas bougé d'un pouce de sur leur piédestal, aussi figé que des statues de .marbre si ce n'était que des lèvres du celtique qui bougèrent lentement pour murmurer quelque chose que Aulus n'entendit pas et qu'il n'était pas particulièrement curieux d'entendre, non plus.

Il haussa les épaules. Trop de gladiateurs dans l'arène perdrait de son charisme. De toute manière, il avait d'autres projets pour son prochain achat.

-D'accord, il vaut cher au combat. Et combien vaut-il en pièces, maintenant ? demanda-t-il, prêt à débourser pour ce fou.

Mais... détrompez-vous, Aulus n'avait nullement l'intention de mettre sa vie en danger en s'encombrant d'une Bête mais, par-contre, il mourrait d'envie de mettre en danger la vie d'une personne bien particulière... Du coin de l'oeil, le fils de l'empereur aperçu le gladiateur cracher dans sa direction. Il fit mine de ne pas avoir remarquer, pour l'instant, sa première pensé étant «"Impolitesse envers le fils d'Octave Auguste" voilà un crime minime susceptible de faire baisser le prix !»

Caeso.
Habituellement, il n'était pas aussi capricieux mais l'ennuie lui tordait les entrailles et la seule chose qu'il pouvait faire était de ce montrer pointilleux sur les gens qui l'entouraient et leur manière d'être.

-Si elles ne me connaissent pas, c'est que vos soeurs ont manqués d'éducation, par chance, cela ne nuit aucunement à leur beauté.

Dommage qu'elles aillent probablement un vice caché pour ne pas être mariées à un âge aussi tardif... pensa-t-il. Que pouvait bien être ce défaut ? Caeso pariait sur de l'infertilité génétique.

-Illégitime certes, mais vous n'êtes pas sans savoir que le trône me reviendra si mon frère meurt sans héritier ou avant de ne succéder à mon père, rétorqua-t-il quelque peu sèchement.

C'est alors que, le détournant de sa conversation, l'une des soeurs du gentleman s'incrusta et fit part de son goût pour la musique. Un sourire quelque peu amusé sembla brièvement étiré le coin de la lèvre de Caeso.

-Je ne danserai que si c'est avec vous, finit-il par déclarer, après un plus ou moins long silence.

Dernière modification par pensina (2014-12-27 05:59:13)

Marcus parut agacé par la réaction du prétention petit bâtard de l'empereur. Il prit un air assuré, ses soeurs ne manquaient certainement pas d'éducations !
-Mes soeurs ont été élevées comme toute fille de patricien se doit de l'être, elles n'ont cependant jamais quitté Pompéi, et ne connaisse rien de Rome. En aucun point elles ne manquent d'éducation.
Puis il déglutit, il était donc héritier, malgré tout. Il valait mieux éviter que ses soeurs ne s'y intéressent trop, la dote était toujours un gros problème, et même lui refuserait surement une épouse aussi pauvre.
Le sourire de Desticia Minor sembla s'élargir un peu plus, et elle fit une petite révérence, attrapant le bras de Caeso et l’entraîner auprès des musiciens.
-Mais ce n'est pas possible, soupira l'aînée, elle va nous faire honte...

Pauvre Caeso il va se coltiner mes deux persos, sympa le frangin

~Maximus~

Maximus avait envie de rire, de se moquer de ce fils "chéri" que son papa chérissait tant. Cependant il n'en fit rien, ne devait-il pas rester comme on le voyait: "une bête"? Maximus ne craignait pas les coups, il avait fait la guère, dirigé une armée, donc quelque coup ou la torture cela ne l'effrayait aucunement, sa rage pouvait guérir tous ses blessures moralement parlant.

Le marchand se contenta de hocher la tête, son poulain était irrécupérable.
Le marchand sourit quand il vit la ourse qu'Aulus lui offrait, il se fichait éperdument pour qui était le gladiateur tant qu'il avait de quoi vivre en échange et avec ce qu'Aulus venait de lui donner en paiement il allait être tranquille pendant un petit moment.

C'est un réel plaisir de faire affaire avec vous Sire.

Quand Maximus entendit le mot "frère", il fit un mouvement en avant, même s'il était maintenu ce gaillard avait quand même de la force. Un léger sourire étira ses lèvres, Aulus était décidément encore plus lâche qu'il ne le pensait mais cela ne l'étonnait aucunement. Maximus prévoyait de toute manière de se débarrasser de toute la famille impériale alors il commencerait par Caeso même si ce dernier n'avait que très peu de valeur aux yeux de tous. Pour le gladiateur il était tout autant responsable que son père et Aulus car personne n'a réagi face à ses fausses accusations de trahison personne!

"Un jour ce sera ton tour", pensa le gladiateur envers Aulus.

Le marchand répondit à Aulus.

Bien sûr ce sera fait.

- Pseudo: Katara'
- Identité du personnage: Cornelia Maximus Quintus
- Sexe: Féminin
- Age: 18 ans
- Catégorie sociale/Travail: Patricienne, fille du sénateur Cornelius Maximus Quintus.
- Histoire, les grands traits: Cornelia est la cadette d'une famille de patriciens de renommée assez importante. Alors que son frère aîné se destine à suivre le chemin de leur père, en se faisant élire sénateur, Cornelia est fortement incitée par sa mère à se marier rapidement, car à 18 ans, la jeune fille s'approche inexorablement de l'âge limite de mariage. Cependant Cornelia, fiancée à un jeune orateur, cherche toujours à repousser la date de leur noce : avide de gloire et de renommée, elle continue à chercher son mari idéal, loin de la capitale où l'attend son futur époux.
La voilà dans la demeure secondaire de la famille, à Pompéi, passant de paisibles vacances avant un mariage qu'elle tente de remplacer... Par un futur empereur, par exemple ?
- Image ou description physique: http://www.google.fr/imgres?imgurl=http … gQrQMwJjhk

Dernière modification par kataraestelle (2014-12-28 22:23:19)

Inscrite! :D

[Oh, une nouvelle patricienne ! Bienvenue ! Je sais pas si t'a fille va trouver son bonheur parmi mes futurs empereurs ! xD ]
[Voyons, Mimi, mes frangins sont toujours sympas ! MDR ]



Aulus n'était pas un lâche (ou peut-être un peu), simplement, il n'avait jamais beaucoup aimé son demi-frère et sautait sur la moindre occasion de l'embêter, de le mettre en colère ou de mettre sa vie en jeu. Ah, le bon vieux amour fraternel !

Continuant de jouer le jeu du frère aimant, il offrit un sourire toujours aussi joyeux et faussement sincère au vendeur. Alors que, à l'intérieur, observant le sourire carnassier du gladiateur, il pensait plutôt : «Ah, si seulement ce gaillard pouvait tuer mon frère»

-De même que moi, de même que moi, cantonna-t-il distraitement. Et merci, je m'attend à ce qu'il soit livré avant la fin de la soirée, je voudrais que mon frère puisse le voir avant la fin des festivités ! s'exclama-t-il, se sourire dégoulinant de gentillesse toujours pendu au bord des lèvres.

Il s'éloigna alors, repassant encore une fois devant Milo et Félix, leur souriant de manière charmante au passage. Demain, il allait particulièrement s'amuser, il en était certain et, pour ce soir, il allait se contenter de la malchance de son frérot.

Caeso.
Contrairement à la jeune fille avec laquelle il avait accepté de partager une danse, Caeso n'avait aucune délicatesse. Il dansait froidement, exécutant des mouvements et des pirouettes apprises par coeur depuis des lustres. C'étaient des mouvements mécaniques.
-Alors, je dois forcément l'avoir déjà croisé à un moment ou à un autre, j'essaierai de m'en rappeler quand j'aurai un peu de temps devant moi, répondit-il à la jeune fille en la faisant pirouetter jusqu'au sol avant de ne la relever.
La musique commença à s'estomper et les dernières notes sonnèrent. La danse allait bientôt finir.

(Merci, oh t'en fais pas tant qu'ils sont riches et influents ça lui ira très bien ;))

-Par Zeus, Tullius, regarde qui va là !!
Le frère de la jeune patricienne tourna la tête vers le lieu que lui indiquait Cornelia, extatique. Il vit un jeune homme robuste et à l'épaisse barbe s'éloigner des lieux un peu plus haut sur le chemin qui les avait menés jusqu'ici.
-Je devrais le connaître ? Demanda-t-il, cherchant vainement dans sa mémoire un visage similaire.
-Voyons, tu ne reconnais même pas le fils de ton Empereur ?? Aulus Auguste, dans les thermes de Rome on ne parle que de lui...
-Encore des conversations vaines de jeunes filles...
Cornelia ne fit pas attention à sa remarque, cherchant déjà comment attirer à l'avenir l'attention du jeune Patricien. Elle avait là l'occasion unique de rencontrer en personne l'homme le plus important de l'empire ! Pompéi lui réservait bien des surprises...